Depuis ce lundi 5 septembre, les parents d'élèves (avec les associations FCPE et Enfants d'abord) de l'école maternelle Marie Mauron sont mobilisés (à l'appel des enseignants et de la Municipalité) pour l'ouverture d'une cinquième classe. En effet, toutes les classes maternelles (soit 17) de la commune et, ce malgré une ouverture dès cette rentrée à Marie Curie, sont au seuil maximum de 31 enfants. "Intolérable", devait dire Jacques Messeguer, notre adjoint communiste à l'éducation, "et qui plus est notre service a ouvert une liste d'attente". cela ne pouvait donc plus durer.
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Tous au Festival Terre de résistance
Demain, débute au parc du Prieuré à Martigues, le Festival Terres de résistance. Une initiative des Amis de la Fête en partenariat avec les communistes de Martigues, de Châteauneuf et le soutien très actif de la Municipalité martégale. Cette année ce sont deux jours de débats, de rencontres, de moments festifs et gastronomiques qui sont proposés.
Au menu :
samedi 3 septembre dès 10 heures le marché paysan, suivi d'un débat (10 h 30) sur l'avenir de l'agriculture. À 12 heures repas paysan à 3 euros et tout au long de l'après-midi une grande librairie, des stands, des débats avec le mouvement pacifiste, féministe mais surtout la grande rencontre dès 17 heures autour du projet partagé du Front de Gauche.
Le soir à partir de 19 heures, notre traditionnel Chili avec en chef d'orchestre Lucho aidé de ses précieux mirlitons.
On passera la soirée à chanter à danser avec un concert des Charabia, suivi d'un bal populaire.
N'oubliez pas le dimanche le récital de Francesca Soleville qui viendra nous chanter notamment des chansons du poête-chanteur Alain Leprest. C'est à 15 heures. Auparavant nous aurons pu écouter avec plaisir le concert du régional de l'étape Jean-jacques Lion et son fabuleux saxophone.
Il y a bien sur le traditionnel vide-grenier qui débutera dès 7 heures et le repas toujours aussi apprécié des communistes de La Couronne-Carro dès 12 heures.
Nous espérons vous voir durant ces deux jours
Amicalement
Thierry Del Baldo
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Est-ce bientôt la fin de nos paysans ?
La saison 2011 a été "catastrophique" pour la filière des fruits et légumes dans les Bouches-du-Rhône, avec une perte "colossale" de 110 millions d'euros et des exploitants "exsangues", du fait de la chute des prix et de la demande, a annoncé mardi 30 août la Chambre d'agriculture. "Cinq cents exploitations professionnelles spécialisées seront en cessation de paiement dans les prochaines semaines si des mesures ne sont pas mises en place en urgence", a souligné la Chambre dans un communiqué. Une perte de 85 millions avait déjà été essuyée en 2009 et l'année 2010, "normale", n'avait pas permis de remettre totalement les trésoreries à flot, a-t-elle rappelé. La perte annoncée, encore provisoire, concerne 12 productions majeures du département: aubergine, concombre, courgette, melon, salade, tomate, poire, abricot et pêche. Mais la Chambre s'attend aussi à une perte d'au moins 15 millions d'euros pour la production de pommes.
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Une histoire d'ânes
Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village. Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash 100 euros l’unité tous les ânes qu’on lui proposerait. Les paysans le trouvaient bien peu étrange mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes. Les jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants. Constatant qu’il n’en restait plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait les acheter 500 € dans huit jours et il quitta le village.