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communistes de châteauneuf et Côte-Bleue - Page 41

  • Lettre de Salah Hamouri

    Lettre de Salah Hamouri

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    Au pays de la révolution française qui a mis fin au féodalisme et à la servitude en propageant à travers le monde les mots de « Liberté – Egalité – Fraternité » ; à Paris, capitale d’un pays qui a résisté hautement pour se libérer de la barbarie d’une armée occupante féroce et brutale ; depuis vos bureaux à l’Elysée ou ceux du Quai d’Orsay – j’espère que vous lirez ma lettre.

     

    Dans l’un de ces bureaux, ma mère a été finalement reçue afin de discuter des moyens pour obtenir ma libération.

     

    Nous savons tous que la démocratie fonde le respect de la diversité des êtres humains. Elle définit les bases légales qui accordent à chacun des droits et des devoirs. Elle prône l’égalité des droits humains et refuse absolument d’établir des différences négatives et ségrégatives selon la couleur de la peau, l’origine, la religion, etc.

     

    Comme citoyen franco-palestinien, je pensais que les autorités françaises se devaient de me protéger (comme elles le font pour tous nos compatriotes français injustement en difficulté dans le monde) alors que je vis dans un pays sous occupation militaire décidée par un gouvernement qui refuse obstinément de reconnaître et d’appliquer le droit international.

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  • Cette journée où Châteauneuf fût libérée.

    En cette période de commémoration du 66ème anniversaire de la libération de la Provence,  Esprit Délena, chateauneuvais depuis 1924, et membre du parti communiste, nous raconte, le 21 aout 1944.

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    Esprit quel âge aviez vous au mois d’aout 44 ?

    Esprit Délena : « J’avais 19 ans, j’étais tous jeune. Nous habitions une maison située dans le quartier du Léou, à la sortie du village, avec mes parents et mes frères. Ensemble nous cultivions les champs. Les temps étaient durs, mais à l’époque avoir un bout de terre ça remplissait l’estomac. On y faisait pousser des légumes, et au fond du jardin il y avait quelques poules et quelques lapins. Mon père était pêcheur aussi, alors ça allé ! On été mieux qu’en ville c’est sur. Et puis de temps en temps on allait chercher du blé à Vitrolles en vélo, chez mon oncle, il nous en donnait une dizaine de kilos que nous dissimulions sous des légumes frais. Sur le trajet de retour à coup sûr, mon frère et moi, nous le faisions avec la peur au ventre. Car à cette époque transporter du blé valait la même sanction que de transporter des armes : c’était la mort ! 

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  • 35ème Congrès du PCF

     

    Retrouvez dès à présent l'intergralité des vidéo du 35 ème congrès nationale du PCF

    SUR http://www.dailymotion.com/user/cn-pcf/1