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Analyses politiques - Page 13

  • Un sondage encourageant pour le « Front de gauche »

    Un sondage réalisé par l’IFOP se lit comme un encouragement à la démarche engagé par le PCF et le Parti de Gauche, le nouveau parti de Mélenchon ainsi que l’appel de Politis, pour la constitution d’une liste réunissant les hommes et les femmes de gauche qui ont pour l’Europe une autre ambition que la voie tracée du libéralisme en crise.
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    L’enquête porte sur les élections au Parlement européen du 7 juin prochain. Une liste rassemblant la plupart des forces de gauche hostiles au traité de Lisbonne recueillerait 14,5% et se retrouverait en troisième position derrière la liste PS (22,5) et UMP (25,5). Au passage, une telle liste dépasserait celle du MODEM (14) et de très loin la liste Europe Ecologie avec Daniel Cohn-Bendit et José Bové (7).

    Evidemment cette prévision ne porte que sur une hypothèse puisqu’à ce jour la LCR/NPA et Lutte ouvrière expriment malheureusement plus que des réticences à une participation à un front de gauche aux européennes.

    Pour autant, le niveau des intentions de vote laisse supposer que la possibilité offerte aux cotoyens de faire avancer par le bulletin de vote des propositions concrètes pour une autre orientation européenne et d’élire des hommes et des femmes qui en seront les promoteurs dans l’enceinte du Parlement européen suscite un intérêt dans l’electorat de gauche. Le responsable de l’IFOP voit un « début de dynamique » d’autant plus que « nous sommes aujourd’hui à un point zéro de la campagne ». La disposition des forces en présence est inconnue des Français, le débat n’a pas commencé. La démarche du front de gauche a été particulièrement sous médiatisée. Dans de telles conditions, les 14,5% sont un bon départ.

    Une réédition de la dynamique de la campagne du Non de gauche lors du référendum de 2005 n’est pas à exclure, toujours selon l’IFOP.

    Alors que la crise frappe durement les salariés dans toute l’Europe et que les dirigeants de l’UE n’hésitent plus à transgresser des règles qu’ils présentaient aux peuples comme intangibles, le débat sur l’Europe sort du registre des sujets tabous. La victoire du NON au TCE, qui paraissait improbable quelques mois auparavant, a montré que les électeurs bien informés pouvaient changer la donne. L’appel lancé par les communistes en octobre 2008 en faveur d’un rassemblement de forces d’accord sur une logique de rupture avec l’eurolibéralisme correspond à l’attente de millions d’électeurs de gauche.

    L’engagement du Parti de gauche dans ce mouvement le conforte comme le conforteront tous ceux et celles qui s’ agrégeront. Mais plus que le casting, c’est le contenu des propositions qui est l’essentiel. L’une des leçons de ce sondage, c’est précisément que la confusion ne semble pas paer. L’addition de personnages aussi médiatiques que Cohn-Bendit et Bové ne suffit pas pour livrer un message politique clair et cohérent.

  • Le 29 janvier : La grande mobilisation syndicale se prépare

    IMG_4960.JPGCe n’est pas la crise pour tout le monde. Les injustices n’ont jamais été aussi profondes. Lors de ses vœux télévisés, le Chef de l’État a prétendu que « l’année 2008 à été dure pour tous les Français. » C’est un mensonge ! Si le plus grand nombre se sert aujourd’hui la ceinture, les possédants, eux, n’ont jamais été aussi riches. Et ils profitent de la crise pour s’enrichir. Il est temps de changer de politique. Et de miser sur une relance sociale.

    La crise frappe dur.

    Après le krach financier de l’automne dernier, les retombées sociales sont lourdes. Les plans sociaux succèdent aux plans sociaux, partout il n’est question que de chômage technique ou de chômage tout court, de « dégraissage », de licenciements. On parle de 300 000 suppressions d’emploi en France entre le dernier trimestre 2008 et le premier trimestre 2009. Le BIT ( Bureau international du travail) chiffre à 20 millions le nombre supplémentaire de chômeurs dans le monde. Aux Etats-Unis, on a supprimé 700 000 postes de travail pour le seul mois de décembre ! Partout, les jeunes sont les premières victimes de ce cataclysme ; partout, la précarité et l’appauvrissement se généralisent. Et la crise s’étend dans tous les domaines de la vie sociale, risquant de provoquer de terribles catastrophes. Emploi, santé, logement, école... tout peut basculer. Et pourtant ce n’est pas la crise pour tout le monde.krach.jpg

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  • Nous sommes tous des enfants de Gaza

    IMG_4582reduite.jpgSamedi 17 janvier, des milliers de manifestants ont parcouru les rues de Marseille pour demander avec urgence la fin de cette guerre qui massacre un peuple et surtout ses enfants. Une manifestation organisée à l’appel de : CNCU-Alternatifs-ACU, Parti de Gauche, Rassemblement Franco Palestinien pour la Paix (RFPP), Femmes en Noir , Ass. Présence Citoyenne, La LDH, NPA, UD-CGT,FSU, UJFP, Ass. EPI, MESSAGES, Jeunes Musulmans de France, Centre Musulman de Marseille, Palestine 13, AEMA, CMF, la CIMADE, AFPS, Grandir à Gaza, AJIAL, VPAIXMED, ATMF, UDAF, PCF13, PC libanais, SURVIE, ATTAC Marseille, UOIF-SUD, Génération Palestine, COMAGUER, Collectif Musulman pour la Palestine, Rouges Vifs 13, Les Verts BdR, Solidaires. Vour également l'album photo de cette manifestation

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  • Pétition pour la maternelle

    maternelle2.jpgPétition
    Pour défendre l’école maternelle
    Vous tous qui avez des enfants en bas-âge, des enfants qui sont ados, des enfants qui ont eux-mêmes des enfants maintenant, vous savez combien l’école maternelle est un lieu vital d’épanouissement et d’éducation pour les premières années de la vie. Tous les pays étrangers, qui n’ont pour structures de petite enfance que des "Jardins d’enfants", garderies municipales ou privées, nous envient notre école maternelle où la pédagogie est adaptée à l’enfant dès la petite section.

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  • Nicolas Sarkozy suspend le projet de privatisation de La Poste.

    La privatisation de la Poste est suspendue
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    Le projet d’ouverture partielle au privé du capital de La Poste ne sera pas mis en œuvre pendant la crise financière, l’annonce d’un conseiller du chef de l’Etat est considérée comme une première victoire par les opposants au projet.
    Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, s’est exprimé dimanche sur le sujet en plusieurs temps.

    "D’abord, il n’a jamais été question de privatiser La Poste. Il n’est pas question, dans la situation où nous nous trouvons, d’ouvrir pour l’instant le capital de La Poste", a-t-il dit dans un premier temps sur Europe 1.

    Il a ensuite précisé sa déclaration sur France Info. "La décision sur La Poste sera prise le moment venu, pour l’instant, il n’y a pas de décision, donc la question de l’ouverture du capital n’est pas posée", a-t-il dit.

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