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  • Le 29 janvier : La grande mobilisation syndicale se prépare

    IMG_4960.JPGCe n’est pas la crise pour tout le monde. Les injustices n’ont jamais été aussi profondes. Lors de ses vœux télévisés, le Chef de l’État a prétendu que « l’année 2008 à été dure pour tous les Français. » C’est un mensonge ! Si le plus grand nombre se sert aujourd’hui la ceinture, les possédants, eux, n’ont jamais été aussi riches. Et ils profitent de la crise pour s’enrichir. Il est temps de changer de politique. Et de miser sur une relance sociale.

    La crise frappe dur.

    Après le krach financier de l’automne dernier, les retombées sociales sont lourdes. Les plans sociaux succèdent aux plans sociaux, partout il n’est question que de chômage technique ou de chômage tout court, de « dégraissage », de licenciements. On parle de 300 000 suppressions d’emploi en France entre le dernier trimestre 2008 et le premier trimestre 2009. Le BIT ( Bureau international du travail) chiffre à 20 millions le nombre supplémentaire de chômeurs dans le monde. Aux Etats-Unis, on a supprimé 700 000 postes de travail pour le seul mois de décembre ! Partout, les jeunes sont les premières victimes de ce cataclysme ; partout, la précarité et l’appauvrissement se généralisent. Et la crise s’étend dans tous les domaines de la vie sociale, risquant de provoquer de terribles catastrophes. Emploi, santé, logement, école... tout peut basculer. Et pourtant ce n’est pas la crise pour tout le monde.krach.jpg

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  • Film formation sur la crise financière

  • Le 29 janvier on manifeste

    cgt-arcelor1.gifJournée nationale de mobilisation interprofessionnelle le 29 janvier

    Appel des organisation syndicales CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors qu’ils n’en sont en rien responsables les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, en sont les premières victimes. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ; elle accroît les inégalités et les risques de précarité.
    Surmonter cette crise implique des mesures urgentes d’une autre nature que celles prises par l’Etat et les entreprises, pour être au service de l’emploi et des rémunérations.
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