Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Analyses politiques - Page 6

  • Les 2 et 12 octobre opposez un « non ferme » au gouvernement !

    Les 2 et 12 octobre opposez un

     « Non ferme »

    Au gouvernement !

    IMG_5048.jpg

    "A la guerre sociale menée contre nos droits, le peuple a répondu par une gigantesque mobilisation fraternelle et solidaire. La rue a parlé et elle est unanime : le rejet du projet gouvernement est clair, net et massif. Le peuple français doit être entendu et la démocratie respectée !

     Fillon oppose un « non ferme et tranquille » aux manifestants. Le mépris, le manque de respect du premier ministre cache mal la fébrilité du gouvernement, alors que 3 millions de personnes sont descendues dire leur refus de cette réforme et leur obstination à ne rien lâcher. En réalité, le pouvoir a perdu la bataille de l’opinion publique !

    arton5065.jpg

    A la suite de la rencontre intersyndicale qui a eu lieu ce matin au siège de la CGT, deux nouvelles journées de mobilisation et de manifestation ont été décidées le samedi 2 octobre et le mardi 12 octobre.

    J’appelle les citoyen-ne-s et l’ensemble du peuple français à amplifier le mouvement engagé, jusqu’à la victoire contre le projet gouvernemental. Samedi 2 et mardi 12 octobre, soyons tous dans la rue, derrière les syndicats, pour opposer un « non ferme » au gouvernement !

    Le PCF soutiendra toutes les actions de lutte décidées par les salariés et leurs syndicats dans l’unité. Jour après jour et dès le 5 octobre au Sénat, les initiatives doivent se multiplier : carte postale à envoyer massivement à l’Élysée ; signature de la pétition autour du projet de loi alternatif élaboré par les parlementaires communistes et du Parti de Gauche qui a déjà recueilli plus de 150.000 signatures...

    Une autre réforme des retraites est possible, qui garantisse pour toutes et tous, un véritable droit à la retraite à 60 ans, avec une pension décente. Les parlementaires communistes, au Sénat après l’Assemblée, restent entièrement mobilisés aux côtés des salariés. Ils prendront toutes les initiatives nécessaires pour continuer à porter la voix du mouvement engagé dans le pays."

    Pierre Laurent, Secrétaire national du PCF

  • Mobilisation du 7 septembre

     

    Communiqué suite à la mobilisation du 7 septembre!

     


    A 17h30 les organisations syndicales recensaient 2735 000 manifestants dans les 213 cortèges!A Marseille nous étions 200 000 et comme à Paris il y a eu nécessité d'ouvrir deux itinéraires.Pour notre commune nous avions commandé deux cars pour les 84 manifestants qui ont rejoint, et  près de 25 concitoyens partis avec leurs syndicats de Martigues!

     Une très forte mobilisation  s'est exprimée dans tout le pays!

    DSC_0589.jpg

     Quelques jours après la rentrée, une réelle dynamique est amorcée, démontrant que les salariés  les retraités mais aussi les jeunes sont déterminés à gagner pour imposer d'autres choix!

    photo.JPG

    Avec une telle mobilisation,

    le gouvernement doit écouter!

    La retraite à 60 ans à taux plein, c'est possible de la financer, ce n'est pas l'argent qui manque. ( n'est ce pas Mme Bettencourt?). Les propositions des syndicats progressent fortement dans l'opinion,  70 % des français approuvent le mouvement.
    Merci encore une fois à chacun d'entre vous pour votre investissement
    et..............on continue!!

     

    Tous ensemble nous allons gagner!

     

  • La colère sociale s'invite à l'Assemblée

    La colère sociale s'invite à l'Assemblée

    ass%20nat.jpg

    Lors des questions orales au gouvernement, les députés communistes et du Parti de gauche ont déposé, sous les huées de la droite, 120 000 pétitions au premier ministre.

    La séance des questions orales au gouvernement a résonné des manifestations qui, dans tout le pays, rassemblaient des millions de citoyens contre le projet de casse de la retraite à 60 ans de Nicolas Sarkozy. Après avoir, par la voix de Daniel Paul (PCF), dénoncé un gouvernement qui veut par sa réforme « en finir avec le socle social instauré à la Libération », les députés communistes et du Parti de gauche (PG) se sont tous levés pour déposer auprès du premier ministre, François Fillon, présent dans l'Hémicycle, les 100 000 pétitions recueillies tout au long de l'été par les militants communistes. Leur texte reprend la proposition de loi PCF-PG formulant des propositions pour garantir la retraite à 60 ans à taux plein.

    Cela fut de trop pour les députés de droite. Conspuant les élus communistes, les traitant dans un cri de haine de « staliniens », Jean-François Copé, chef de file des élus UMP, qualifiait cette initiative de l'opposition « d'inqualifiable » et demandait au président de l'Assemblée nationale un rappel à l'ordre en forme de sanction. Ce refus de la droite d'entendre, pour l'heure, les exigences s'exprimant dans les manifestations, était manifestement la ligne de conduite adoptée par la majorité. Ainsi, quand Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste, interpelle le gouvernement pour demander tout à la fois « de véritables discussions et négociations entre les partenaires sociaux et le gouvernement », François Fillon se fait provocateur. S'il se dit « respectueux des inquiétudes de ceux qui manifestent », c'est le moins qu'il puisse faire, il poursuit : « Je respecte aussi ceux qui ont pris la responsabilité de travailler pour ne pas aggraver la situation économique du pays ». Les salariés qui ont décidé de sacrifier une journée de salaire pour exercer le droit de citoyen en manifestant apprécieront de se faire traiter d'irresponsable.

    François Fillon, qui se veut droit dans ces bottes, prétend que « la question des retraites n'est pas une question de droite ou de gauche mais une question démographique ». Au nom de quoi il a réaffirmé que le recul de l'âge de la retraite à 62 ans est « raisonnable et incontournable ». Les députés de gauche ont multiplié les interventions pour montrer que ce projet va au contraire aggraver les inégalités sociales, particulièrement pour les femmes, et peser pour l'essentiel sur le dos des salariés. Ils ont avancé des propositions pour un autre financement à base de taxation du capital, de développement de l'emploi et de meilleurs salaires. A chaque fois, Eric Woerth, ministre du travail répondait, presque mécaniquement,« démographie », « allongement de la vie », « déficit », « exemplarité des pays d'Europe... ». Cet autisme, dénoncé par Marisol Touraine, députée PS, ne pourra pas longtemps tenir lieu de réponse à la colère sociale qui s'exprime dans le pays.

  • Journée festive de lutte, 1er mai à Chateauneuf

    logo 1er mai.jpg

    LE PROGRAMME

    Lire la suite

  • ON NE BAT PAS EN RETRAITE!!

    Faire entendre les exigences citoyennes sur les retraites

    moton786-53d2c.jpg

     

    Le gouvernement français s’apprête à engager une nouvelle réforme qui risque de porter un coup fatal au système de retraite par répartition en jurant une fois de plus que c’est pour le sauver. Le bilan des réformes menées depuis 1993 est déjà catastrophique car toutes les dispositions prises (calcul sur les 25 meilleures années, indexation sur les prix et non plus sur les salaires des actifs, allongement de la durée de cotisation sous peine de décote…) ont déjà fait baisser le niveau des pensions d’environ 20 %. Elles ont aggravé les inégalités déjà fortes entre les pensions des hommes et des femmes. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) prévoit que le taux de remplacement moyen – niveau de la retraite par rapport au salaire, passerait de 72 % en 2007 à 59 % en 2050. Cette dégradation continuera donc de frapper les actuels retraités et touchera également les générations suivantes.

    Lire la suite